29 avril 2011

1001 QUESTIONS (3)

Vous vous posez 1001 QUESTIONS
3ème partie – Les COMMENT FAIRE ?  
 
Le questionnement des aspirants-parents commence souvent par un cortège de « Pourquoi … ? », une recherche de causes de l’absence d’enfant dans leur vie; il se poursuit généralement par la question pratique des options possibles, des choix à opérer, des « Quoi Faire ? » pour cheminer vers leurs enfants.
Ces deux types de questions ont été abordés dans les volet 1et volet 2 de cet article.

Enfin apparaissent, plus ou moins nombreuses et conscientes suivant les personnes, des questions sur « Comment faire? »,  COMMENT créer les CONDITIONS pour traverser au mieux cette épreuve de VI(d)E et en faire un tremplin pour une vie plus féconde ? Comment accompagner au mieux la crise existentielle que l’on est en train de traverser et à laquelle on cherche à survivre ? Comment la vivre et renaître à soi ? Comment …. ? COMMENT … ?
En opérant des choix pour répondre à la question de savoir  « quoi faire? », quelles options privilégier, nous avons fixé  un cap, une grande direction, … ou plusieurs d’ailleurs : on peut en effet espérer une grossesse spontanée tout en engageant une démarche d’adoption et en poursuivant un protocole de Procréation Médicalement Assistée, dès lors que l’on s’en sent désireux et capable et quels que soient les avis des personnes toujours bien intentionnées … et pas directement concernées … qui vous entourent.

Tel le héros d’un conte, nous avons formulé notre quête; nous pensons en connaître les principales étapes, et bien sûr, sur notre chemin nous rencontrerons des obstacles, nous découvrirons des ressources insoupçonnées, feront des apprentissages au travers de situations inattendues et des rencontres qui nous feront grandir. Au fur et à mesure de notre parcours, nous chercherons quelles sont les conditions à créer, à réunir, pour aller de notre situation présente à notre état désiré, à notre rêve concrétisé.


La question des conditions nécessaires pour la conception d’un enfant est déroutante pour qui la formule : en effet, chacun connaît des personnes qui ont conçu un bébé alors que les conditions médicales et psycho-sociales ne semblaient pas idéales, voire a priori pas réunies : combien de grossesses non-voulues sous pilule, ou de grossesses improbables après diagnostic de « stérilité » ?  

A l’inverse beaucoup d’infertilités restent inexpliquées et laissent perplexe le corps médical, parce que les conditions médicales semblent remplies (dans l’état actuel des connaissances et explorations médicales). Nombre de psychanalystes avancent, sur base de leur pratique, que les femmes et couples dits « infertiles » présentent souvent des histoires et structures psychologiques communes - ce sera l’objet d’un billet ultérieur. Néanmoins, toutes les femmes qui ont souffert d’un déficit de maintien maternel, ont une représentation limitée de leur corps ou des comportements perfectionnistes ne souffrent pas de troubles de la fertilité. Ainsi, ne pas réunir tous les facteurs théoriquement propices à la procréation, ou à l’inverse être porteur d’un ou plusieurs de ces « verrous de la fécondité » , selon l’expression de Joëlle Desjardins Simon, n’empêche pas nombre de couples de donner la vie; s’il existe des conditions nécessaires, il n’y a jamais d’idéal, et les conditions suffisantes sont propres à chaque couple, chaque enfant, chaque histoire.

Vouloir créer les conditions d’une vie plus féconde ne peut donc se faire qu’en référence à soi-même, sur son chemin propre.

Repérer les champs à explorer, pour soi, pour son couple, pour rencontrer cet enfant-là, celui qui nous est destiné, que l’on attend, qui nous attend … cela passe par un temps d’écoute de soi et au sein du couple, de dialogue en soi, à deux et avec des tiers. Cela suppose un temps de recueillement peut-être pour accéder à un conscience plus profonde de ce vers quoi nous mène cette épreuve de vie.
Ce peut être un questionnement constructif, qui porte vers l’avenir, vers soi et vers l’autre.

Et toi, aujourd’hui, quelles conditions cherches-tu à réunir et quels objectifs formules-tu ? 



Dans cette constellation de questions,certaines te parlent, font sens plus que d’autres. Observe en toi …
Point n’ai besoin d’explorer tous ces « comment … ? » pour créer les conditions nécessaires et suffisantes à l’accueil d’une vie .
Alors suis ton intuition, encore une fois et ne prends que ce qui t’appartient.


Pour aller plus loin dans cette réflexion, tu peux accéder sur ce blog au kit Mon chemin de fécondité




Où va ton désir, tu iras. 
Qui a fait l’expérience d’apprendre à rouler à vélo, à faire du ski, à conduire un bateau, … sait que c’est le regard qui nous guide, que là où se pose notre regard, nous allons. De même, nous irons d’autant plus sûrement vers notre désir que nous nous le formulerons et nous le représenterons, avec tous nos sens, d’une façon attrayante, attractive, qu’il aura pour nous la force d’un aimant. 
 
Et nous le réaliserons d’autant plus aisément que nous nous fixerons des objectifs intermédiaires motivants, précis, et sous notre « contrôle », dépendant essentiellement de nous. Ceux –là nous avons toutes les chances de les atteindre, et ça c’est excellent pour notre moral et notre estime de nous.  Pour cela nous pourrons utiliser des méthodes de définition, formulation et représentation d’objectifs, qui ont fait leurs preuves. Nous pourrons considérer notre objectif au travers d’une série de questions : 

Suis-je 100% responsable de la réalisation de cet objectif ?
Est-il formulé de façon positive, affirmative ? Et a-t-il un sens positif ?    
Est-il réalisable ?    
Comment s’inscrit-il dans le temps ?
Est-il contextualisé, suffisamment spécifique, concret pour que je sache qu’il est atteint ?    
A quoi saurai-je qu’il est atteint ? Que pourrai-je observer extérieurement ? Intérieurement ?
Présente-t-il des inconvénients ?
Que me permettra-t-il de satisfaire ?
Quelles actions ai-je déjà engagées pour l’atteindre ?
Quels obstacles ai-je rencontrés ?
De quelles ressources ai-je besoin ?


D’ores et déjà, pense-tu à des objectifs que tu aimerais-tu formuler de façon plus précise ?

 
Pour aller plus loin sur la formulation et la représentation des objectifs, tu trouveras explications, exemples et conseils dans le kit Mon chemin de fécondité .
 
Dans la détermination d’objectif, il est un élément fondamental sur le chemin de la réussite, c’est la capacité à repérer et expérimenter l’état de vie, physique et émotionnel, que l’on recherche à travers cet objectif. D’une manière générale, quelle que soit notre propension à formuler des objectifs avec précision, nous gagnerons à retrouver notre âme d’enfant et à jouer à « on ferait comme si …, on dirait que …  mon objectif serait réalisé, il se passerait …et je ressentirais … ». Cela se révèlera aussi une précieuse méthode pour tous ces désirs, vœux, souhaits qui dépendent des autres, de ce que nous appelons parfois « la chance », « Dame Nature » ou le petit coup de pouce du destin.


Peut-être perçois-tu déjà intérieurement des objections à te prêter à ce jeu du « comme si ». ?
Aurais-tu peur de retomber en enfance ? N’est-ce pas justement ce renouveau rafraîchissant de l’enfance que tu appelles de tes vœux en espérant un enfant ? Ou crains-tu de te mentir ? Et en même temps, chaque jour, ne mets tu pas ta capacité à faire « comme si… » au service du jeu social, avec l’intention positive de t’adapter aux attentes des autres, de leur faire le cadeau d’une présence qui les satisfasse ? Ce cadeau, pourquoi ne pas te le faire à toi-même ? Crois-tu que l’objectivité scientifique, probabiliste et le cynisme te mèneront plus sûrement à ton enfant ?
Je ne saurai trop t’encourager à oser …

Oser Faire Comme si …
Faire Comme si …, est un puissant levier pour préciser notre objectif de façon plus concrète, pour en repérer les inconvénients et obstacles éventuels. S’imaginer dans la situation désirée – voir, entendre, sentir ce qui s’y passe, avec tous ces sens, comme si c’était réel et présent – permet d’accéder aux ressentis internes associés … ainsi peut-on par exemple s’imaginer et se sentir enceinte, en train d’accoucher, mère ou père, et observer comment ces situations nous impactent émotionnellement, positivement … ou peut-être pas tout à fait, comment elles s’inscrivent dans notre réalité, matérielle, relationnelle, .. ou pas encore. C’est ainsi que nous pouvons prendre conscience de ce qui nous sépare encore de notre rêve, de nos ambivalences, et y remédier si tel est notre choix et notre chemin.  
Faire Comme si …, est une façon puissante d’inscrire le rêve et la volonté dans la réalité du corps, de contacter le désir pour qu’il s’incarne. Le corps connaît la solution et est l’espace de la solution.
Faire Comme si …, c’est s’offrir une jolie machine à voyager dans le temps et créer son futur dès à présent.
Faire Comme si …, c’est mettre de la magie dans sa vie, comme Aladin frottant la lampe pour faire apparaître son génie, c’est cultiver son pouvoir d’attraction, décider d’aimanter sa vie positivement.
Alors quand avec tous tes sens, tu te fais le cadeau de vivre tes rêves, tu peux associer l’état nourri par ce rêve éveillé à une image, un mot ou un objet que tu choisiras. A chaque fois que tu verras, entendras ou toucheras ce présent que tu te seras fait, tu rendras à nouveau présent l’état recherché et tu cultiveras ainsi le processus d’incarnation de tes précieux souhaits. 
 
Et toi, quelles expériences rêves-tu, quels états cultives-tu ? Et quoi les associes-tu ?

Ton chemin tu chériras
Il y a 1001 façons de faire ton chemin.
Peut-être es-tu de celles qui prennent un cap, puis qui, pour concrétiser leur rêve, repèrent quelques grandes étapes qui pourraient les y conduire, et les jalonnent d’objectifs de plus en plus précis, cherchant, avec méthode, un contrôle maximal sur un chemin qui ne manquera pas de leur réserver des surprises ? Ou peut-être, d’emblée, ou en cour de route, as-tu cherché le « lâcher prise », comme on te l’as souvent conseillé, te laissant porter de surprise en surprise ?
Peut-être es-tu de celles que ce simple terme de « lâcher-prise », présenté comme la solution évidente à ton problème, comme le chemin le plus court et le plus certain vers la fécondité, exaspère … tant cet état d’être te paraît impossible, inaccessible … et je te comprends : quand tes règles reviennent, comment ne pas penser à ton espoir déçu ? Quand une amie t’annonce être enceinte, comment ne pas penser à ta situation ? … Et en même temps, quelque chose te dit que cette capacité à laisser naître, advenir, vivre ce qui est, est peut-être une étape du chemin … Nous y reviendrons dans un prochain billet.
Quel que soit ton style, plus ou moins volontariste, sur le chemin, tu peux être certain, que comme pour le héro du conte, ce chemin peut avoir une véritable valeur initiatique, être au moins aussi important que l’issue. La valeur de ce chemin tient à la somme des obstacles que tu auras transformés et des ressources que tu auras pu mobiliser. Ta capacité à accorder à ce chemin toute sa valeur te permet de faire la route vers la concrétisation de ton rêve dans le meilleur état possible, sur un plan physique, émotionnel, énergétique, relationnel et favorise certainement son issue positive. Autrement dit, il se pourrait que, voir, humer, apprécier et cueillir les fleurs qui se présentent sur ton chemin soit aussi important que de décrocher les étoiles dont tu rêves.
Le chemin se fait pas à pas, pas après pas, successivement, des petits pas, des hésitations, de grands pas, des temps de pause, des tentations de recul devant l’obstacle, de fuite face aux efforts à fournir pour développer ses ressources, l’envie de chausser parfois des bottes de sept lieux, et déjà d’être arrivé.
Chaque pas de plus est un nouveau oui dans la direction de notre rêve, une confirmation de notre choix.
Pour faire certains pas significatifs, ils nous faudra reprendre notre élan, notre souffle, et nous appuyer sur un entourage personnel ou plus professionnel : rencontrer de bonnes fées pour faire un pas de plus.

Lever ses obstacles
Les obstacles qui se dressent sur notre chemin se présentent le plus souvent sous la forme d’un comportement, d’une sensation, d’une émotion, ou encore d’une croyance, tous ces éléments étant inter-reliés : en effet nos croyances, sous forme de pensées, s’inscrivent dans le corps par un ensemble de sensations, une émotion, qui met en mouvement un comportement donné. Attachement à des souffrances passées et exportation du passé dans le futur sous forme des peurs, sont les principales sources d’obstacles que nous nous créons, de façon totalement inconsciente, bien sûr. Alors en partant de ce qui est le plus perceptible - un comportement, une sensation, une émotion – nous pourront tirer le fil, retrouver les croyances qui se cachent, remonter le fil du temps, jusqu’au passé qui fait obstacle, retrouver peut-être des évènements traumatiques dans l’histoire personnelle ou même transgénérationnelle. Par exemple, en observant mon désir d’enfant, j’ai remarqué que je me représentais toujours la venue d’un enfant garçon, alors que consciemment j’étais ouverte autant à accueillir une fille qu’un garçon. Curieuse, j’ai alors mis à jour une peur, jusqu’alors tout à fait inconsciente, de mettre au monde une fille. La croyance sous-jacente était que « être une fille, une femme, c’est risquer la mort à l’occasion d’une grossesse ou d’un accouchement »; peut-être donc que j’avais à la fois peur d’être enceinte et d’accoucher et de transmettre cette peur à une fille. J’ai vite lié cette croyance à un évènement traumatique survenu alors que j’avais à peine deux ans : ma maman a failli mourir sous mes yeux d’une hémorragie provoquée par une grossesse extra-utérine. Voilà un obstacle important qui semblait levé, mais toujours pas de grossesse.
Plus tard, en étudiant de plus près mon arbre généalogique, j’ai découvert que la lignée des utérus était à l’origine de cette croyance et de cette peur : la grand-mère et l’arrière grand-mère maternelles de ma grand-mère maternelle seraient mortes en couche, laissant de très jeunes orphelins. Mon arrière-grand-mère, orpheline de mère à 3 ans, a, probablement, de façon involontaire, parce que prisonnière de sa propre souffrance, gardé ce secret pour elle et nous ses descendantes, chacune à notre manière, avons témoigné de ce secret, inconsciemment, au travers d’expériences douloureuses autour de la maternité. Depuis cette prise de conscience, j’ai accueilli, dans ma lignée féminine, à la fois la souffrance de ces femmes, et leurs ressources, … et une fille m’est née, … par FIV et césarienne … alors le chemin se poursuit pour qu’elle puisse tout à fait jouir elle aussi d’une vie pleinement consciente et féconde. 
Ce n’est là qu’un exemple de cheminement. Peut-être pour certains, un travail sur les émotions, sans recherche volontaire dans le passé, pourra suffire à progresser vers leur rêve. Chaque parcours se révèle singulier.
Lever les obstacles,  c’est accepter de faire bouger notre situation, nos représentations, croyances, émotions, tirer un fil dont on ne sait où il va nous mener et faire le pari que c’est l’occasion de cheminer un plus vers qui nous sommes profondément.

Et toi, y a-t’il des obstacles que tu souhaiterais lever ? Un comportement qui te dérange ? Une émotion qui te gêne ? Une croyance associée ? Un trauma identifié ?

Mobiliser ses ressources
Chemin faisant, on découvrira aussi que des ressources nouvelles nous sont nécessaires : par exemple, plus de conscience du corps; la capacité à positiver toute situation; la possibilité de repérer l’intention positive des comportements de nos interlocuteurs, poser ses propres limites dans une relation sociale ou médicale; … Pour développer un nouveau comportement, cultiver de nouvelles capacités, de nouveaux savoir-faire et savoir-être, nous aurons besoin de trouver des références dans notre histoire personnelle ou des modèles dans notre environnement : à cette époque de ma vie où je vivais épanouie dans mon corps, comment faisais-je ? cette amie qui semble voir la vie en rose, quelle est sa stratégie ?...
Parfois, il nous faudra adopter des croyances aidantes, cultiver des états de vie inhabituels pour nous.

Et toi, sais-tu quelles ressources tu aimerais développer ?

Pour faire tout cela, nous aurons parfois besoin de temps pour cheminer intérieurement, de temps pour prendre soin de nous, pour lire, s’informer; écrire un journal, un blog; échanger en couple, avec d’autres, dans des groupes, sur des forums; faire des activités de bien-être … Pour faire tout cela, nous aurons parfois besoin de personnes pouvant nous offrir une écoute et un accompagnement professionnel.

Accompagné si nécessaire tu seras
1001 opportunités d’être accompagné vont s’offrir à toi. Vouloir « chérir son corps », par exemple peut passer par des activités très variées : cultiver un regard bienveillant et une bonne image; se masser et se faire masser; s’offrir une alimentation saine; …
Quel que soit l’objectif, nombreux sont les professionnels auxquels tu pourras t’adresser; encore une fois, ton intuition sera probablement le meilleur guide pour choisir quelle direction emprunter, quelle discipline privilégier, quelle personne sélectionner.





Dans toutes ces pratiques, y en a-t’il qui t’attirent ?
Peut-être sens-tu intuitivement ce qu’il te faut. Ou peut-être au contraire, te sens-tu perplexe devant tant de choix. Alors la rencontre avec un coach peut te permettre de clarifier tes besoins, écouter tes envies, et élaborer un parcours d’accompagnement personnalisé qui puisse y répondre.



Cet article est le dernier d’une série de trois sur les questionnements qui habitent les femmes et couples en quête de plus de fécondité.
 


Les questions du type « POURQUOI? » conduisent souvent à l’instrospection, avec le risque de l’auto-critique.


Celles du registre du « QUOI FAIRE » portent vers la recherche de solutions à l’extérieur de soi, avec la richesse et la promesse que cela comporte et le risque de se perdre, de devenir objet plus que sujet dans cette aventure.



Tous les COMMENT renvoient eux à un processus de réappropriation de son histoire, de ses choix et engagent dans un véritable processus de transformation et de croissance personnelle. 




Observer les questions qui vous viennent, choisir celles qui méritent votre attention et qui vous permettront de CRÉER dès aujourd’hui des émotions constructives, des effets positifs sur votre corps et votre vie, et donc les CONDITIONS de vos victoires et de vos bonheurs de demain, c’est ce que je vous propose. Si vous souhaitez vous engager dans le processus d’une vie plus féconde, je serai à vos côtés. 
 

2 commentaires:

  1. magnifique article, je me sens concernée vous savez...oh vous n'avez pas idée de la souffrance PMA pour avoir un enfant! il faut être passée par l’infertilité comme nous pour le comprendre! c’est un vrai bonheur que d’être maman et j’en rêve depuis longtemps que je suis en PMA, une endométriose sévère et des SOPK avec un AMH à 0.2, le gygy nous envoie en GPA hélas impossible en France, svp peut-on le faire légalement en Espagne avec Eugin ou en Ukraine avec A. Feskov clinic? ou au Canada et en Belgique? merci pour vos conseils ou expériences si vous en avez svp! je déprime

    RépondreSupprimer
  2. contente de te relire, ah quelle galère la PMA en France... oh je comprends tes souffrances pour être passée moi-aussi par l'infertilité, écoutes c'est impossible de faire une GPA en Espagne, par contre la Belgique la tolère mais ne l'accepte pas, je t'encourage pour A. Feskov group dont tu parlais car ils ont un bureau à Bruxelles et le font légalement https://mere-porteuse-centre.fr/, tu peux aussi voir avec le canada bien que coûteux et complex

    RépondreSupprimer

Maintenant c'est à vous ... de partager ce que ce billet vous inspire.